Marine Carpenters in Puerto Naos, Arrecife, Canarias

The beautiful work of the classic work of marine-carpentery

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Just some pictures of a beautiful world

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and then the wonderful life in Arrecife, Canary island !

A little trip searching la Isla San Borondon

Everything is really allright for us, in the marvelous city of Arrecife, in Lanzarote, Canary Islands with our canarian friends the fishermen, and master carpenters of La Ribera, in Puerto Naos. We have done a fantastic little journey to the norther islands with our friend Tito Gonzales, onboard of her "La Gloria", a fisherman traditional wooden hull, rigged as a shooner.
Like in the best adventure books, we where invited by the only owner of a mythic island San Borondon, please have a look of it on Picasa wich is a very usefull freeware for anybody...

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LE BON SIGNE !!!

Après être arrivés en pleine nuit à Sagres, Portugal, dans un vent deforce 7 sous les falaises terrifiantes du cap Saint Vincent et dans une mer bien difficile, nous voilà en route vers Allegranza, la première île des Canaries. Nous savons que c'est un endroit désert, mais il y a tout demême un phare annonciateur de l'archipel et une petite caleta où nousvoudrions faire une belle photo. Pour gagner cet endroit, nous aurons fait environ 1400 milles nautiquesavec notre petit bateau : il marche bien ! Hier matin, très belle surprise. Nous avions planté nos deux cannes àpêche « au gros » à l'arrière du rafiot en tirant des appâts basques, des« Artza » à tout hasard…D'un seul coup, ma canne se plie en deux ! Un gros truc ! Je merue sur le moulinet qui siffle, et tente de ramener. La traction esténorme et je me doute vite que mon fil va se rompre. Et c'est effectivement le cas l'instant d'après. Dans une gerbe d'écume, un espadonfouette la surface et rompt son entrave. Une bête énorme, grosse comme un dauphin amis avec ce rostre qui caractérise l'espadon ! Clac, c'est fini. La bête, comme pour nous narguer saute cette fois joyeusement très haut hors de la surface par deux fois… Aujourd'hui, un autre combat avec un poisson, peut être un thon, qui m' emporte encore le bas de ligne appès une lutte d'une demi-heure. Puis c'est un requin qui nous suit longuement et finalement m'arrache encore ma ligne... Nous n'avions pas eu la moindre touche dans le golfe de Gascogne. A bord, malgré la perte des appâts,nous sommes enchantés : C'EST BON SIGNE !!! De toute façon, ce genre de poisson est bien trop gros pour nous, mais c'est BEAU de voir la mer vivre !

Plus que 85 milles pour le sud Portugal !

Nous ne sommes plus qu'à 85 milles de Sagres, la pointe sud du Portugal mais bloqués pour l'instant par des vents de sud à Sesimbra, sous Lisbonne. Tout va bien, nous écrivons depuis M5, tous deux dans une coque sous la pluie battante. L'eau est à 16° ici, faut qu'on plonge demain pour nettoyer les coques qui sont déjà pleines d'algues et il ne fait pas très chaud ! plus que 85 milles nautiques pour atteindre la pointe sud du Portugal, le Cap St. Vincent. ce sera Sagres, où nous attendrons le bon créneau météo pour filer vers les Canaries. Vos messages nous font du bien et nous sortent de notre solitude forcée, merci à tous nos amis et nos ennemis !

Portugal, NO PROBLEMO !

Bonjour à tous les amis.
Nous sommes à Peniche, Portugal.
Nous nous reposons d'une nuit très agitée et mer vicieuse très croisée entre Leixoes et Peniche.
Mais nous sommes un peu déçus, le yachting est devenu comme du caravaning de luxe, plus personne ne parle de navigation.
Tout va bien à bord, peu à peu nous apprenons notre bateau.
Demain nous faisons route pour Estoril et Cascais, à l'entrée de Lisbonne.
Bientôt le Sud, vers Sagres et le Cap St Vincent
Nous avons des ballets de dauphins, le matin et le soir le plus souvent, mais l'autre jour, en pleine nuit dans des gerbes fluorescentes. Leur apparition est toujours un bonheur et donne de la joie. Ces petits amis sont magiques, ils vivent sans stress aucun et vous le font comprendre !

Passage cap Finistère

Partis le 12 Aout 2011 de Hendaye, à bord de leur dernier prototype qui n'a jamais navigué, les frères Berque réussissent à virer les caps Estaca de Bares et Ortegal en Galice, après environ 275 milles et au bout de trois jours de navigation, ce qui est une très jolie performance sur un bateau de moins de 5m en pleine charge d'Atlantique.
Partir du fond du Golfe de Gascogne est en effet beaucoup plus difficile que partir de Bretagne, car on est face au vent dominant.
Le 15 aout, ils font une escale de 4 jours dans le très joli port de
Cedeira pour se reposer d'une dernière nuit très dure face au vent pour
virer ces grand caps mythiques qui ferment le Golfe.
Le 19 aout, ils font route par très beau temps sur le magnifique petit
port de Malpica, abrité sous lez îles Sisargas royaume du fameux Percebes (un molusque, sorte de pousse pied dont les Espagnols raffolent) où ils passent la nuit.
Le 20 aout, ils reprennent leur route pour virer cette fois le grand cap un peu terrifiant mais splendide (il y a là en effet un cimetière anglais
pleind'une centaine d'aspirants de la Royal Navy qui ont été engloutis sur
ces rochers effrayants), le Cabo Villano (photo jointe, une extraordinaire tête gigantesque), par très beau temps et s'abritent à Muxia pour la nuit.
Le 21, ils virent le cap Toriñana puis le cap Finistère, et passent la
nuit à Fisterra sous la pluie et le vent. Pas le moindre yacht dans ces
petits ports de pêche.
Le 22 aout, ils reprennent leur route vers le sud par temps très couvert et vent très faible et atteignent Corrubedo, magnifique petit port entouré de récifs affleurants extrêmement dangereux où il n'y a évidemment aucun voilier.
Bientôt, route au Sud vers le Portugal.
Chaque jour désormais, le soleil remonte dans le ciel à raison d'une minute d'angle par mille nautique gagné vers le Sud !

Aujourd'hui, mercredi 24, nous sommes à Leixoes, portugal, par 41°N... le temps semble OK pour continuer sans risque.